C'était Balaam, il prophétisait parce que Balak voulait qu'il maudisse les enfants d'Israël en Nombres 23. Mais si nous lisons le verset 10, il dit

"Qui peut compter la poussière de Jacob, Et dire le nombre du quart d’Israël ? Que je meure de la mort des justes, Et que ma fin soit semblable à la leur !

Voici le cri que Balaam a lancé. Malheureusement, Balaam n'est pas mort de la mort du juste. Quelle en était la raison ? Seuls les justes pouvaient mourir de la mort des justes. Mourir de la mort du juste ne peut jamais être un accident. La mort des justes n'est pas un hasard. Finir comme un juste ne peut jamais être le fruit du hasard. Seuls les justes peuvent mourir de la mort des justes. Ce qui nous est arrivé ce 16 février a été la démonstration de la façon dont les justes s’en vont, comment les justes transitent vers la gloire. Quand Funmi m'a raconté ce qui s'était passé, alors que j’étais en chemin, elle a dit : "Ton fils est parti dans la gloire". J'ai dit : "Tu es sûr ? De quoi parles-tu ? Mais elle m'a répondu : "C'est comme ça, monsieur".

Alors comment mourir de la mort des justes ? Il y a une façon de le faire. C'est d'être juste effectivement, d'être juste chaque jour, d'être juste à chaque instant. Il n'y a pas une autre façon de mourir de la mort des justes que de marcher dans la justice, pas à pas, jour après jour, instant après instant.

Savez-vous pourquoi je dis cela ? C'est à cause d'un autre passage dont le Seigneur a parlé. M. Balaam n'a pas su qu'il n'y avait pas de justice accumulée. Il se disait qu'au moment où il aura acquis une certaine justice, il pourra se permettre de faire un peu de mal et ensuite il pourra se dire: "J'ai cette grande justice, j'ai cette petite méchanceté et donc maintenant, tout peut s'équilibrer". Non ! Il faut être juste jusqu'à la dernière minute. Si un homme a été juste toute sa vie et est retourné au péché, toute sa justice sera oubliée, elle sera annulée comme s'il n'avait jamais été juste. La raison pour laquelle nous nous réjouissons est que Joshua a marché dans la justice, s'est déplacé dans la justice, a prié dans la justice, a exercé son ministère dans la justice, s'est agenouillé pour prier dans la justice sans savoir que c'était la dernière fois. Donc ma première question, "mourrez-vous de la mort des justes ? Voulez-vous finir comme les justes ? Voulez-vous bien finir comme les justes ?" Cela ne peut pas être un souhait. Ce ne peut être un simple désir. Il doit s'agir d'une action et pour vous tous ici présents ce matin, une parabole nous a été proposée. Frère Joshua nous a tracé un chemin parfait, comment allez-vous finir ? Par quoi finirez-vous? Quelle sera votre dernière action ? Un homme se comportait bien depuis de nombreuses années, puis soudain il a rétrogradé et la mort l'a rencontré là-bas. Personne ne parlait de tout le bien qu'il avait fait. Ils ne se souvenaient qu'il avait mal fini. Il y a beaucoup de prédicateurs qui priaient et prêchaient à une époque. Leurs ministères étaient forts, mais vers la fin de leurs vies, ils se sont mis à pratiquer des fausses doctrines. Chaque fois que nous mentionnons leurs noms maintenant, personne ne se souvient de tous les bons messages qu'ils prêchaient. Les gens se souviennent seulement de la mauvaise doctrine qu'ils prêchaient. Si vous voulez finir comme les justes, vous devez continuellement être juste. Vous devez grandir dans la justice. Vous devez progresser dans la justice. Vous devez marcher dans la justice. Chaque jour dans la justice ; le matin, le soir, la nuit dans la justice.

GBILE AKANNI

EXTRAIT du message "MOURIR DE LA MORT DU JUSTE"